Comment faire un voyage astral conscient avec la technique voyage astral de l’élémental de la Datura
Récit et témoignage de Marie
- Au cours de mes études, un ami me raconta comment faire un voyage astral avec l’élémental de la Datura.
- Cet ami avait obtenu avec la créature élémentale d’excellents résultats comme méthode de dédoublement astral, en utilisant une clé bien spécifique.
En suivant ses conseils d’expériences sur la technique voyage astral, j’entrais plein d’enthousiasme dans une boutique spécialisée de plantes tropicales. Je demandais au vendeur s’il avait une variété de datura appelé « datura arborea ».
Il me répondit par la positive et tout heureux je me procurais ce précieux petit arbre dont les fleurs en longs calices blancs répandent un parfum enivrant l’été. Je plaçais la plante dans ma chambre de manière à créer une relation sympathique avec elle.
Pour une mystérieuse raison, j’étais attiré par cette plante dés que cet ami m’en avait parlé. Le soir même, je m’allongeais en décubitus dorsal, la main droite posée sur la main gauche couvrant mon plexus solaire.
Comment faire un voyage astral en invocant l’aide de Kundalini, ma divine Mère particulière Devi Kundalini
- Avant tout, je demandais à ma propre Divine Mère, Devi Kundalini, le serpent Kundalini de m’assister pendant cette pratique.
Je me concentrais sur la plante, ou plus exactement sur la créature élémentale qui est l’âme de la plante. Je la remerciais de m’accorder son aide, car je souhaitais vivement réaliser le dédoublement astral. .
Je prononçais d’abord à haute voix, puis mentalement, l’invocation suivante avec une grande fermeté dans le cœur :
« Dés que je t’appelle, toujours tu accoureras, j’ai besoin que tu me sortes en corps astral toutes les fois que je te le commande. »
Je répétais une bonne dizaine de fois cette phrase puis je vocalisais le mantra KAM en vidant soigneusement tout l’air de mes poumons.
KAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMMMMMMM
Je renouvelais toute l’opération un nombre incalculable de fois, encore et encore sans jamais me lasser. Je rentrais progressivement dans le sommeil, vigilant comme la sentinelle en temps de guerre.
Au bout d’un certain temps, peut-être deux ou trois heures, j’arrêtais ces invocations alors que je me trouvais dans un parfait demi-sommeil. Mes sens astraux tournaient en une valse effrénée, je sentais les énergies subtiles en action à l’intérieur de mon propre organisme.
J’observais ce phénomène avec un étonnement mystique. J’attendais que quelque chose de nouveau se produise. Mais je restais ainsi pendant un temps qui me parut très long sans qu’il se passe autre chose.
De temps en temps, je répétais l’invocation entre deux «observations ». Au petit matin, je décidais de renouveler l’expérience le soir même et ceci jusqu’au résultat final.
Les nuits passèrent et se ressemblèrent, toujours ces sensations nettes de libération d’énergie, d’ivresse spirituelle, mais j’étais comme bloqué entre les deux mondes.
La certitude de savoir comment faire un voyage astral grâce au soutien de l’accompagnement
Mon ami me soutena qu’il fallait de la patience pour savoir comment faire un voyage astral conscient. Grâce à son soutien permanent, je renouvelais tous les soirs la même expérience.
Toujours grâce à l’expérience de mon ami, pendant la journée, j’utilisais la technique voyage astral d’éveil.
De plus, chaque jour je le tenais informé de ma méditation interne, et comme pour me remercier, il me racontait des récits de ses expériences extraordinaires.
# Son accompagnement fut essentiel à la réussite de mon expérience de projection astrale consciente.
- Et je le remercie infiniment pour m’avoir appris à savoir comment faire un voyage astral conscient, éliminer la peur et vaincre les obstacles.
- Le 11ème jour enfin, alors que j’étais toujours en état d’alerte nouveauté en auto-observation et en rappel de moi-même, il se passa quelque chose de proprement extraordinaire.
J’invoquais l’élémental avec le corps engourdi par le sommeil, lorsqu’une sensation arrêta nette ma « récitation », je sentais que j’allais perdre pied et sombrer dans le sommeil de façon irrésistible.
Le tourbillon du sommeil m’entraina totalement, je passai de l’autre côté en un instant mais avec un élément nouveau. Ma conscience qui un bref moment avait perdu pied dans le passage au plan astral était de nouveau opérationnelle.
Je me retrouvais dans le plan astral, debout dans ma chambre. Un « miracle » s’était produit, je n’avais pas eu conscience du dédoublement astral proprement dit, mais j’avais été assisté par une force étrangère qui avait assuré le transfert de ma conscience dans mon corps astral.
J’étais en extase, debout, parfaitement lucide avec la même conscience qu’à l’état de veille. Mon corps physique était allongé sur le lit et je pris le soin de ne pas le regarder.
Mon ami et « professeur » m’avait prévenu que cela risquait de me faire réintégrer mon enveloppe corporelle, le corps physique par identification à la pensée de le voir.
De toute façon, mon regard fut attiré par un événement extraordinaire. Passant le pas de la porte, arriva un jeune garçon qui devait avoir une dizaine d’année. Ce qui me marqua immédiatement était son port altier et majestueux.
En effet, il était vêtu d’une tenue royale avec une longue cape rouge. Une couronne en or était visible sur sa tête et il tenait dans sa main droite un sceptre de commandement.
Il avança vers moi d’un pas décidé et s’immobilisa à un mètre de ma personne. Je posai un genou à terre tant pour être plus à sa hauteur que parce que j’étais intimidé.
Je me trouvai devant l’élémental de la Datura, qui détient selon la tradition de très grands pouvoirs magiques. Je bredouillai quelques mots de remerciements presque en bégayant.
Le Deva me fixait terriblement et subitement m’adressa la parole : « Quand seras-tu donc sérieux me dit-il, dans 40 ou 50 ans ? ». Et il se tût.
Je compris en un éclair que cette question était un test, une sorte de question piège pour mesurer ma compréhension et ma sagacité spirituelle.
Je ne pris pas le temps de réfléchir et lui répondit au tac au tac : « Je ne sais pas, je ne suis pas maître de moi-même. Je serais sérieux lorsque mon père qui est en secret l’aura décidé. » Telle fut ma réponse.
Je vis immédiatement que ce n’était pas « la bonne réponse » par le mouvement que fit sa tête. Néanmoins il me déclara : « cette réponse te permet de me poser toutes les questions que tu souhaites. »
- La première question presque naïve qui jaillit de l’intérieur sur mes lèvres fut celle-ci : « Est-ce que Samaël Aun Weor est un Maître de la Loge blanche ? »
Il répondit par : « Samaël Aun Weor est le Christ du Verseau, le Bouddha Maitreya, il est l’instructeur de tous les aspirants à l’initiation de ton époque terrestre. »
Je lui posais des questions plus personnelles, auxquelles il répondit toujours dans un style laconique. Il mit fin à notre entretien lorsqu’il le décida.
Je me retrouvai dans mon lit physique, émerveillé, les larmes aux yeux d’avoir vécu une si magnifique expérience. Je ne pus trouver le sommeil cette nuit là tant mon excitation était grande.
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