comment-mediter-meditation-eveil-de-la-conscience-bouddhata

Comment méditer en méditation pour provoquer l'éveil de la conscience, de la bouddhata.

Comment méditer précisément en méditation pour atteindre le silence du mental qui provoque l’éveil de la conscience, l’éveil de la bouddhata

* « Celui que les plaisirs matériels n’attirent plus, qui n’est plus esclave de ses désirs, qui a rejeté tout esprit de possession et qui s’est libéré de la tyrannie de l’ego, peut seul connaître la sérénité parfaite. » Verset 2.71 de la Bhagavad-Gîtâ.

En méditation, si Dieu est le Grand Souffle, le comment méditer devient comparable à la manière de positionner nos voiles (voir également la manière de penser).

** « Celui dont le savoir spirituel a déraciné les doutes, et qui, ayant renoncé aux fruits de ses actes, s’est établi fermement dans la conscience de son intime réel, celui-là, Ô conquérant des richesses, demeure libre des chaînes de l’action. » Verset 4.41 de la Bhagavad-Gîtâ.

« La technique de méditation nous permet d’arriver jusqu’aux hauteurs de l’Illumination et de la Révolution de la Dialectique. »

Le texte en italique est extrait d’un livre : « La Révolution de la Dialectique ». Ce livre de Samael Aun Weor est un des derniers livres écrit par le bouddha maitreya. Ce livre est en libre téléchargement sur cette page : Samael Aun Weor ses livres.

Comment méditer : « Nous devons distinguer un mental qui est calme d’un mental qui est tranquillisé par la force. »

Il est crucial d’apprendre à savoir comment méditer d’une manière précise et droite sans faire intervenir la force durant la phase de concentration dans l’exercice de la méditation.

Non seulement, l’utilisation du compas de navigation doit être précise mais également l’auto-observation de l’horizon, ainsi que le rappel de soi, condition sine qua non pour atteindre l’éveil de la conscience.

Comment méditer : « Quand le mental est tranquillisé de force, il n’est pas réellement tranquille, il est muselé par la violence et dans les niveaux plus profonds de l’entendement, il y a une forte tempête. »

La maîtrise du mental ne s’acquière pas avec des exercices de force et encore moins avec la violence. Comment méditer précisément fait l’objet de la première étape d’apprentissage dans l’exercice de la méditation.

La patience et la minutie des archéologues sont absolument nécessaires pour apprendre précisément comment méditer afin d’atteindre l’éveil de la conscience, de la bouddhata, notre essence divine.

Comment méditer : « Quand le mental est rendu silencieux de façon violente, il n’est pas réellement en silence et, dans le fond, il clame, crie et se désespère. »

La technique de méditation crée une attention particulière qu’on nomme l’auto-observation. Cette faculté de la bouddhata se développe merveilleusement avec les exercices de méditation sur le silence.

C’est seulement au moyen de la méditation que l’on peut découvrir tout le fonctionnement du subconscient. Pour apprendre à savoir comment méditer précisément sur la dissolution du moi (moi pluralisé), il est d’abord nécessaire de procéder à l’ouverture du mental intérieur.

Comment méditer d’instant en instant dans le silence de la méditation pour libérer la bouddhata et faire jaillir l’éveil de la conscience

# Comment méditer : « Il est nécessaire d’en finir avec les modifications du principe pensant durant la méditation. Quand le principe pensant reste sous notre contrôle, l’illumination nous advient spontanément. »

Comment méditer pour provoquer l’illumination ? En finir avec la bête intellectuelle et la lutte incessante de la bataille des opposés, est la condition sine qua non pour l’éveil de la conscience, l’éveil de la bouddhata, l’essence divine.

Comment méditer : « La maîtrise du mental nous permet de détruire les entraves créées par la pensée.

# Pour obtenir la quiétude et le silence du mental, il est nécessaire de savoir vivre sa vie d’instant en instant, de savoir profiter de chaque moment, de ne pas doser l’instant.

Prenez tout de chaque moment, parce que chaque moment est fils de la Gnose. Chaque instant est absolu, vif et significatif.

La momentanéité est une caractéristique particulière des Gnostiques. Nous aimons la philosophie de la momentanéité.

Le Maître Ummom dit à ses disciples : « Si vous marchez, marchez ; si vous vous asseyez, asseyez-vous, mais n’hésitez pas ».

Le doute et le scepticisme sont des processus mentaux provenant de l’identification au principe pensant (actuellement esclave du Moi du désir et de la douleur, le Moi pluralisé de la bête à cornes, cette grande prostituée de la fin des temps).

Il est absolument inajournable d’en finir avec les doutes et de s’établir fermement dans la conscience de son Intime réel (Atman)(comme le dit le Verset 4.41 de la Bhagavad-Gîtâ au début de cette chronique).

* Et ceci se réalise simplement par le fait de vivre sa vie d’instant en instant dans le 1er Commandement de Dieu comme l’exprime l’Arcane 1 du Tarot : « Tu aimeras Dieu (l’Intime) par dessus toute chose et ton prochain comme toi-même « .

** Il est nécessaire d’en finir avec les processus du raisonnement car la lutte incessante des opposées est un état psychologique d’esclavage et de soumission à la bête intellectuelle (la bête à dix cornes de l’Apocalypse de Saint Jean).

*** Il est crucial de faire de son Mental (voir Netzah), un véritable sanctuaire, un Temple où pourront s’exprimer le Verbe (Jean) du Logos et la Volonté de l’Intime, l’Être.

Comment méditer : « Une première étude de la technique de méditation est l’antichambre de cette paix divine qui surpasse toute connaissance.

La forme la plus élevée de la pensée est de ne pas penser.

Quand on obtient la quiétude et le silence du mental, le Moi avec toutes ses passions, désirs, appétits, craintes, attachements, etc., s’absente.

Ce n’est qu’en l’absence du Moi, en l’absence du mental, que la Bouddhata peut s’éveiller pour s’unir à l’Intime et nous conduire à l’extase.

Il est faux, comme le prétend l’école de magie noire du Subub, que la monade, ou grande réalité, pénètre en celui qui ne possède pas encore les corps existentiels supérieurs de l’Être.

Ce qui entre chez les fanatiques ténébreux du Subub, ce sont les entités ténébreuses qui s’expriment en eux avec des gestes, des actions, des paroles bestiales et absurdes. Ces gens sont possédés par les ténébreux. »

Ce n’est qu’en l’absence du moi pluralisé que l’essence divine, la bouddhata, se libère et expérimente les degrés de l’extase et parvient à l’illumination.

Autrement dit, savoir comment méditer précisément est crucial, car ce savoir faire précis nous amène au résultat final de la compréhension des processus du raisonnement du mental qui enlisent le mental sensuel dans la bataille des opposés, la lutte provenant de l’identification au principe pensant dans les polarités.

  • Comment méditer en l’absence du mental sensuel ? Le mental doit se libérer de l’esclavage psychologique des désirs, des peurs et des anxiétés (doute, scepticisme, fantaisie, etc.).

Nos attachements aux objets et aux valeurs matérialistes nous maintiennent dans l’esclavage psychologique de la bête intellectuelle.

* Ainsi, comment méditer : c’est vivre sa vie d’instant en instant dans le 1er Commandement de Dieu en reconnaissant « Notre Père qui êtes aux Cieux » (voir l’Intime), car Cela nous libère des attachements aux plaisirs matériels, de l’esclavage des désirs, de tout esprit de possession, des doutes et du fruit de nos actes (relire les Versets de la Bhagavad-Gîtâ au début de cette chronique).

** Pour apprendre à savoir comment méditer présicément, il est nécessaire de travailler très dur sur soi-même, de vivre sa vie d’instant en instant et de prendre la totale responsabilité pour ses actes, pensées, émotions, paroles et intentions. C’est pour cela que le Bouddha Maitreya Samael Aun Weor, nous invite à adopter une nouvelle Psychologie Révolutionnaire, seule capable de libérer la Volonté de notre divinité intérieure.

En apprenant comment méditer, non seulement dans l’activité et le bruit mais également dans le silence de l’isolement (avec la méditation avec exercices), notre vie quotidienne vécue d’instant en instant se transforme en méditation continue.

« La quiétude et le silence du mental ont un seul objectif : libérer l’Essence divine du mental pour que, fusionnée avec la Monade ou l’Intime, elle puisse expérimenter ce que nous appelons la vérité.

Durant l’extase et en l’absence du Moi, l’Essence divine peut vivre librement dans le Monde du Brouillard de Feu, en expérimentant la Vérité.

Quand le mental se trouve en état passif et réceptif, absolument tranquille et en silence, l’Essence divine ou la Bouddhata se libère du mental et l’extase apparaît.

L’Essence divine se trouve toujours embouteillée dans la bataille des opposés, mais quand la bataille se termine et que le silence est absolu, l’Essence divine reste libre et la bouteille éclate en morceaux. »

Comment méditer sur les polarités pour produire l’éveil de la conscience, de la bouddhata

Quand on débute les exercices de méditation, toute personne peut s’apercevoir qu’il y a une partie attentive qui observe les autres parties du mental distraites. Cet effort d’attention crée un conflit entre l’attention et l’inattention.

Comment méditer pour se libérer de la bataille des opposés ? C’est précisément l’objet de l’étude des polarités dans l’exercice de la méditation. Cependant la méditation doit être précise dans l’action quotidienne de notre vie même, vécue intensément d’instant en instant (voir l’observation de soi et l’attention dynamique de l’auto-observation).

Comment méditer : « Quand nous pratiquons la méditation, notre mental est assailli par de nombreux souvenirs, désirs, passions, préoccupations, etc. Nous devons éviter le conflit entre l’attention et la distraction. Il y a un conflit entre la distraction et l’attention quand nous combattons contre ces assaillants du mental.

Le Moi est le projecteur de ces assaillants mentaux. Où il y a conflit n’existe ni quiétude ni silence. Nous devons annuler le projecteur au moyen de l’auto-observation et de la compréhension.

Examinez chaque image, chaque souvenir, chaque pensée qui arrive au mental. Rappelez-vous que toute pensée a deux pôles : le positif et le négatif.

Entrer et sortir sont les deux aspects d’une même chose. La salle à manger et la salle de bains, le haut et le bas, l’agréable et le désagréable, etc., sont toujours les deux pôles d’une même chose.

Examinez les deux pôles de chaque forme mentale qui arrive au mental. Rappelez-vous qu’on n’arrive à la synthèse qu’au moyen de l’étude des polarités. »

La doctrine du coeur, du don et de la compassion, est la doctrine de l’éveil de la conscience et de l’union des opposés. La magie sexuelle est cette même étude des polarités pour éveiller la Kundalini en élevant d’abord les deux témoins, magnétique et électrique, Ida et Pingala, lunaire et solaire.

De la même manière, nous sommes tous constitués comme un aimant et attirons vers nous, les événements, les circonstances et les personnes, selon les lois d’affinités des polarités, positive ou négative, magnétique ou électrique.

Dans ces conditions, comment méditer sur les polarités ? Ceci fait l’objet d’une étude continue dans la méditation active et passive. La vie intensément vécue dans l’action, d’instant en instant, devient une méditation continue.

Comment méditer : « Toute forme mentale peut être éliminée au moyen de la synthèse.

Exemple : le souvenir d’une petite amie nous assaille. Est-elle belle ? Pensons que la beauté est l’opposé de la laideur et que si elle est belle dans sa jeunesse, elle sera laide dans sa vieillesse. Synthèse : il ne vaut pas la peine de penser à elle, elle est une illusion, une fleur qui se fanera inévitablement.

En Inde, cette auto-observation et cette étude de notre Psyché sont appelés, proprement, Pratyara.

Les oiseaux pensées doivent passer dans l’espace de notre propre mental en un défilé successif, mais sans laisser aucune trace.

L’infinie procession des pensées projetées par le Moi finit par s’épuiser et alors le mental reste tranquille et en silence.

Un grand Maître autoréalisé a dit : « Ce n’est que quand le projecteur, c’est-à-dire le Moi, est totalement absent, que survient le silence qui n’est pas produit par le mental. Ce silence est inépuisable, il n’est pas en rapport avec le temps, il est l’incommensurable, alors seulement advient Cela qui est ».

Le mental dispersé et agité est une conséquence de l’attachement – qui est un état d’esclavage de la machine humaine – au moi pluralisé, à la fausse image de soi, à la fausse conscience de la bête intellectuelle.

L’amour propre constitue un obstacle majeur dans l’étude de la méditation. Si l’animal social, éperdu dans la contemplation de ses propres pensées, se sent blessé lorsqu’on parle de lui, il prouve qu’il vit toujours identifié au Moi de l’amour propre, de l’orgueil et de la vanité.

Comment méditer dans la sérénité d’où jaillit l’éveil de la conscience et de la bouddhata

L’éveil de la conscience jaillit dans la sérénité absolue. Le vide fait irruption dans l’océan du mental et la bouddhata fusionne avec l’Être. C’est l’expérience de l’illumination, du vide illuminateur.

Comment méditer dans la sérénité ? Ceci fait l’objet de l’étude de la compassion dans la doctrine du coeur en action. C’est précisément l’étude du développement des facultés du chakra du coeur (chakra Anahata ou église de Thyatire).

La méditation avec exercices sur l’amour développe le cardias et les pouvoirs du coeur. La compréhension est une faculté de l’Être qui naît de l’ouverture du mental intérieur. Ceci est la doctrine du Christ, la doctrine du coeur et la doctrine de la compassion.

La partie centrale du mental fait également l’objet de l’étude de la doctrine du coeur, du don et de la compassion. La bouddhata, l’essence divine, est notre soleil et se situe dans le chakra du coeur, le chakra Anahata.

Comment méditer : « Toute cette technique de méditation se résume en deux principes : une réflexion profonde et une sérénité formidable.

Cette technique de méditation, avec sa non-pensée, fait travailler la partie la plus centrale du mental, celle qui produit l’extase.

Rappelez-vous que la partie centrale du mental est ce qui s’appelle la Bouddhata, l’Essence divine, la Conscience.

Quand la Bouddhata s’éveille, nous restons illuminés. Nous avons besoin d’éveiller la Bouddhata, la Conscience.

L’étudiant gnostique peut pratiquer la méditation assis à la manière occidentale ou à la manière orientale.

Il est conseillé de pratiquer les yeux fermés pour éviter les distractions du monde extérieur.

Il convient de relaxer le corps en évitant avec soin qu’aucun muscle ne reste sous tension.

* La Bouddhata, l’Essence divine, est le matériel psychique, le principe bouddhique intérieur, le matériel animique ou la matière première avec laquelle nous donnons une forme à l’âme.

La Bouddhata est ce que nous avons de meilleur en nous, et elle s’éveille avec la méditation intérieure profonde.

La Bouddhata est réellement l’unique élément que possède le pauvre animal intellectuel pour arriver à expérimenter ce que nous appelons la Vérité.

* La seule chose que puisse faire l’animal intellectuel, qui ne peut pas incarner l’Être parce qu’il ne possède pas encore les corps existentiels supérieurs, c’est de pratiquer la méditation pour autoéveiller la Bouddhata et connaître la Vérité. »

Comment méditer sur les qualités essentielles à l’éveil de la conscience, de la bouddhata

Dans la méditation, certaines qualités ou compétences sont essentielles pour savoir comment méditer précisément et atteindre l’expérience du vide illuminateur.

** L’humilité est la qualité essentielle et suprême pour parvenir aux cîmes de l’illumination. On peut commencer à apprendre l’humilité en vivant sa vie d’instant en instant dans l’Arcane 1, le 1er Commandement et le « Notre Père qui êtes aux Cieux« .

*** C’est dans le silence de la méditation que la conscience prend conscience d’elle-même. Ainsi, la bouddhata prend conscience de son propre bonheur en reconnaissant dans sa chair, sa propre créature.

C’est dans la méditation en l’absence du moi que la bouddhata s’éveille par un processus inné et intime d’autoréalisation provenant de l’Être. C’est dans le vide de la méditation que surgit l’illumination provenant du vide illuminateur.

L’humilité est une qualité ou compétence inhérente à l’essence divine et indispensable pour provoquer l’éveil de la conscience. L’action droite, la pensée droite et la parole droite sont également indispensables.

Vivre sa vie d’instant en instant, c’est se mettre en action chaque jour dans sa vie quotidienne et faire de sa vie une méditation continue.

# Lorsque la pensée, la parole et l’action s’unissent en vibrantes harmonies avec la bouddhata, l’éveil de la conscience se produit dans le silence de la méditation.

La méditation se doit d’être continue : Cela est expérimenter la technique de méditation avec le coeur conscient en développant la doctrine du coeur, du don et de la compassion, dans sa vie quotidienne, vécue intensément d’instant en instant.

Être un amoureux de la Lumière afin d’entrer dans la sérénité de la mort mystique pour travailler dans « la dissolution du moi » (Samael Aun Weor ses livres). La quête pour l’illumination est alors vécue comme un don de Dieu (sceau de Dieu).

Acquérir la foi authentique en développant le mental intérieur. La foi authentique provient de l’expérience Intime de l’Être. La foi authentique ne provient pas des croyances mais elle a pour origine l’Être.

Devenir un amoureux de la lumière, s’armer du bouclier de la foi véritable et avancer d’un pas ferme et décidé sur le chemin de l’éveil de la conscience, coûte que coûte, sans jamais se retourner en arrière. Cela est l’apanage des éveillés.

Dans la méditation, nous devons également empoigner la lance d’éros et faire appel à l’électricité transcendantale de Kundalini pour dissoudre l’Ego, le Moi pluralisé.

De là, avec la naissance de la foi authentique, nous nous forgeons à acquérir une détermination sans faille et à toute épreuve à l’aide du marteau de la volonté, jusqu’à atteindre les sommets de l’illumination.